Les pathologies vulvaires sont nombreuses et fréquentes. Pourtant, il existe un retard diagnostique réel chez les patientes atteintes par ces affections.
La plainte des patientes n’est pas immédiate, même lorsque la symptomatologie intime est bruyante, sous la forme de prurit, de pertes vaginales, de dyspareunies ou de vulvodynies. Le diagnostic et la prise en charge des lésions vulvaires bénignes doivent être améliorés.

De plus, les manifestations précancéreuses, les pathologies HPV-induites et les lésions pigmentées vulvaires doivent être identifiées et traitées plus précocement. En effet, certaines lésions, paucisymptomatiques, sont tardivement prises en charge car elles sont au carrefour de plusieurs spécialités médicales : médecin généraliste, gynécologue, dermatologue…

Ce programme non présentiel, illustré par une large iconographie et agrémenté par des cas cliniques, est destiné aux médecins généralistes, gynécologues et dermatologues afin d’améliorer leurs pratiques dans le cadre du diagnostic, du traitement et de l’accompagnement des patientes atteintes par des pathologies vulvaires.